Ces quelques mots déposés en offrande
En mémoire d'une belle et tendre
Elle me délivra du maléfice suprême
Elle me permit de relâcher le fil des lettres
Au cours du temps qui passe aux jardins d'Eden
Toi, ma Muse
Une inspiration, une respiration au rythme de ses soupirs et de ses sourires
Ils me sont chers
J'en paie le prix
Le prix du sang, le prix du coeur
Peu me chaut
Merci mon Âme
Mon Âme dit merci à la tendre Epiphanie
De m'avoir délivré du sortilège
De m'avoir forgé un avenir
Puisque Freymann je suis, Homme libre je deviens
Je me bats au jour le jour... pour réparer les affres du temps
Ce site ne se veut qu'un cri
Cri de joie, de souffrance aussi, de vie surtout,... de mort également mais surtout de renaissance
Expériences dont j'avais le goût du partage
En remerciement...
Ceci est pour l'amitié du coeur et la recherche de sens présente en chacun de Nous...
Voici quelques éléments jetés ici et là
Ils n'ont d'autre prétention que de vous emmener sur les ailes de votre voie, de votre voix intérieure
Peut-être
Par amour de l'Homme
En pardon de nos erreurs
Une contribution....
Juste compagnon, juste
Merci
If Yves
Il était une fois (il paraît que les contes de fée débutent ainsi) une pêche miraculeuse
Il était une fois un prince affamé ou malfamé,... l'histoire l'a oublié
En quête d'un royaume
D'un royaume fait de rêves, de dragons à pourfendre, et de princesse à sauver de la méchanceté ambiante
De la cruauté de ce monde qui l'enfermait dans sa belle tour d'ivoire
Histoire d'y voir plus clair en ces temps obscurs
Le prince était originaire de "Vieille France", dont les canons étaient forcément surannés, détonnait par ses discours...
Il lui parlait de coeur, à elle, qui en avait si peur
Il lui parlait des yeux, des étoiles, de forces de vie qu'il avait éventuellement connues; Il l'écoutait comme un prince peut le faire, comme un charme peut envoûter... Il était ou il est (L'histoire ne le dit pas) tout ouïe
Et le sort scella leurs vies... Oui, à en croire qu'une bonne fée avait parsemé la naissance de cette belle et tendre pêche de paillettes d'or... d'argent, de poussières d'anges et d'étoiles...
Et le sort fit que le prince la vit se détendre...
en sa présence
La vit triompher de mille et un périls... et que lui-même en ressentit les effets
Mais, hélas... un sort scellait en corps ces yeux de pêche et l'empêchait de le voir, de le sentir... Lui, le chevalier de ses démons...
Alors, le prince prit son destrier et écrit à Dame Lune, sa marraine, pour lui narrer ses mortelles aventures, lui chanter par mots et par vaux la détresse, la tendresse par lesquelles il était amené à vivre
Par le bout des naseaux... Hum... par le bout du nez en sorte qu'il faillit s'oublier, se noyer dans ce fleuve Désespérance...
mais , heureusement, il avait appris à surnager, à nager
Un petit peu comme un homme peut apprendre, même sur le tard à vivre et à survivre
Le prince "Vieille France" acquit donc une nouvelle connaissance de ses sens, de l'essence même de vie, de l'Amour et de tout ce qui l'accompagne ou en découle
Normal, vu qu'il sortait de ce fleuve Désespérance, il ne pouvait que coller, dégouliner et sécher les larmes inutiles de sa Foi
et en retrouver l'éclat unique de la Joie
Il acquit de la sorte la certitude que l'Amour se donne et ne s'attend pas; Il a quitté le regard du rescapé qui aime sans compter, sans désespérer car désespérer serait tel un pêché d'orgueil
Inutile, futile, vain alors que du bout de ces lèvres, de son coeur... il distribuait à l'envi et distribue toujours l'or du pauvre
celui des sentiments sincères
qui n'a pas de prix
autre que celui de la peine à offrir
un avenir sans bornes
sans frontière à sa Mye
à son amie
à ceux qu'il aime
simplement
si simplement
If Yves