"
Tu m'habites
"Tu m’habites
Tu m’habites et mon cœur vibre à cette seule pensée
Je le sens battre,
Je la sens se battre,
Doucement,
profondément,
Je vois ton sourire,
cette joie de vivre surgir, jaillir,
comme un feu intérieur
dans l’obscurité des temps une lueur, une chaleur
Tu m’habites… et mon cœur s’embrase
Et mon corps t’embrasse
De mille feux, de mille mots
Fondent, disparaissent, se fondent les maux
En un jardin de lumière
Où poussent de nos mains en prière
De nos âmes les caresses
Le vent des cimes, le vol d’une feuille que la nature adresse
À l’aube d’un matin de printemps
À la joie d’Être, de vivre et d’Être amant
If
Yves