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Ronde
"Ronde
La ronde oblongue de nos âmes mêlées
Touchaient la soupente du toi absolu
Brandillement vibratile de couleurs emmêlées
Rais, flamboiement de ton corps lu
Que faire de cette éperdue lutte
Au creux de tes reins ma lutte
De brindilles, de feux froids, cendres
Epoussetées d’écailles, peaux de sandre
Nage de neiges, sabots déchaussés
De tes pieds bots, cils rehaussés
Battement de paupières lourdes de sens
Qui te jettent éclairs vides d’essence
Perte sagace de la mémoire vaine
Qui te retient en corps, à y perdre à l’aine
Yves
If